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4 janvier 2021 1 04 /01 /janvier /2021 18:29

Traité de la noblesse des offices d'armes, et du blason - BnF. Ms. Fr. 11464 

 

Description : Début : « A l'oneur et louange de la tressaincte et individue Trinité... » — Nombreux blasons peints On lit, en plusieurs endroits du volume, la mention :

« Je suis et apartient à noble homme Jan Guillemot, sieur de Largentaye » (fol. 14v)

 

« Ce livre est  Jan Guillemot, sieur de Largentaye » (page de garde v°)

Contient : « Comment on doit faire l'Empereur,... roy,... duc, ... », etc. ; « De gaige de bataille ». ; « Des neuf Preux... — Les noms, armes et diz de neuf... Preuses ». ; « Les armes du roy et doze pers de France ». ; « Le vergier de France ». ; « Les armes de pluseurs roys crestiens... ». ; « Les armes du duc, des barons et autres grans seigneurs de Bretaigne ». ; « La maniere coment on doit faire lettres et rescripcions ». ; « Libelle de paix, » d'Alain Chartier ; incomplet des quatorze premiers vers. ; « Louange de Paris, » par Alain Chartier (?). Début : « Paris sans per, receptable des Dieux... ». ; « La geanologie des roys, ducs et princes de Bretaingne, » par « Pierre Le Baud, historien de la royne Anne, » d'après une note signée : « Pontglas ». 

 

 

Jean Guillemot, écuyer, sieur de La Ville-Corhen en Andel et de L'Argentaye en Quessoy, né et baptisé à Lamballe le 23 mars 1561, partagé le 7 avril 1588 pour la succession de ses parents, partagé le 15 avril 1521 et en mai suivant pour la succession de son frère Olivier, épousa Jeanne de Couëspelle, dame de La Chaize en Plestan, décédée vers 1599, dont postérité

Fils de Guillaume Guillemot, écuyer, sieur de La Rivière, partagé le 25 décembre 1572 pour la succession de ses parents, et de sa première épouse Guillemette Bertho (du Rocher)

 

L'Argentaye en Quessoy, visible sur le Plan de Penthièvre ; A case i9 et E2ème feuille (à gauche)

 

 

 

Guillemot : d’azur, au lion couronné d’or, accompagné de trois molettes du même.

 

Extrait de la Réformation de la Noblesse de Bretagne, 1678 :

Induction d’actes desdits René Guillemot, Ecuyer, Sieur de la Villecohren, Charles Guillemot, Ecuyer, Sieur du Bocage, Alain et Jullien défendeurs signifiée au procureur Général du Roy le vingt huit octobre mil six cent soixante huit tendantes et les conclusions y prises à ce que les Sieurs Guillemot soient maintenus en la qualité d’Ecuyer par eux et leurs prédécesseurs prises et comme tels inscrits dans le Catalogue des Nobles de la Province de Bretagne et dans le ressort du siège Présidial de Rennes, filiation et généalogie de la famille desdits Guillemot inséré dans la susdite induction par laquelle il est articulé que Guillaume Guillemot duquel ils tirent leurs origines était fils de Pierre ou Perot qui fut marié à Demoiselle Denise Clément fille de la Maison des Hayes à présent annesiée à la maison de Cargouet Berthot. De ce mariage sortit Jan Guillemot Ecuyer, qui fut marié à Demoiselle Perrine le Prévost en Plestan, fille du Sieur de la Touche au Prévost.

De leur mariage est issu Noble Guillaume Guillemot marié à Demoiselle Catherine de la Moussais desquels issu autre Guillaume Guillemot lequel fut marié en premières noces à Demoiselle Guillemette Berthot Illier de la Maison du Rocher Berthot en Plestan et en secondes noces à Demoiselle Janne de la Garangère, fille aînée de la Maison de Piquenié duquel premier mariage était issu Ecuyer Jean Guillemot de la Villecorhen, qui fut marié à Demoiselle Jeanne de Couespelle fille seule puînée de la Maison de la Chaire en Plestan et dudit dernier mariage est issu ledit Ecuyer René Guillemot Sieur du Bocage et de la Villecorhen qui fut marié en premières noces à Demoiselle Jeanne le Moinne fille puînée de la Maison de Beauregard Lemoinne et en second mariage à Demoiselle Françoise Rogon, fille puînée de la Maison de la Jansourier et qui a eu du premier mariage Charles Guillemot, Ecuyer, son fils principal et noble....

Accord et transaction faite et passée entre Ecuyer Pierre de Couespelle, Sieur de la Chaire et Ecuyer Jan Guillemot et Demoiselle Jane de Couespelle sa compagne, Sieur et Dame de la Villecorhen touchant le partage qui comptait à ladite Jane de Couespelle.

Tant aux successions de leur feu père et mère qu’en la succession de feu de Couespelle en date du 17e avril 1599 dûment signé et garanti.

Acte de partage noble et avantageux baillé par Noble Homme Jan Guillemot, Sieur de l’Argentain, héritier principal et Noble Homme Guillaume Guillemot, son frère puîné es succession de Noble Gens Guillaume Guillemot et Guillemette Berthot leur père et mère en date du 7 avril 1588, Sieur du Ruffay, Jan Guillemot.

Deux autres actes de partage nobles et avantageux des 15 avril et mai 1621, dûment signé et garanti, ledit Jean Guillemot, père dudit René défendeur et autre Jan, son frère aîné, du premier lit dans la succession d’Olivier Guillemot décédé sans hoir de son corps un des puînés dudit Jan Père dudit René Guillemot défendeur tant au sel qu’au mobilier, savoir le bien roturier également le tout du nombre retournant collatéralement à l’aîné du consentement des puînés.

Acte de partage noble et baillé par ledit Ecuyer Jan Guillemot, Sieur de la Villecorhen, aîné principal et noble à Demoiselle Julienne Guillemot, Dame de la Chesnaye, sa sœur puînée pour son droit naturel lui appartenant des successions de défunts nobles gens Guillaume Guillemot et Jane Le Garangère leurs père et mère en date du 9 juillet 1598, dûment signé et garanti, par lesquels il se voit que Jan Guillemot, fils de Guillaume et de Damoiselle Janne le Garangère leur héritière principale et noble aurait transigé avec ses puînés pour la succession dudit Guillaume et pour celle de ladite de la Garangère aurait partagé et faite assiette à ses puînés au noble comme à noble au partage comme au partable conformément à la coutume.

... Acte de partage noble baillé par Jean Guillemot, Ecuyer, Sieur de Largentaye, aîné héritier principal et noble à Guillaume Guillemot, son puîné dans la succession d’autre Guillaume Guillemot et de ladite Bertho, leur père et mère, audit acte le 7 avril 1668 (1658 ?)

 

 

Louis Guillemot, écuyer, seigneur de La Roselaye en Hillion

 

Jean Guillemot, écuyer, seigneur de Vauvert en Planguenoual

 

Jean Guillemot, écuyer, seigneur de Bahurel en Redon

 

Charle Guillemot, écuyer, seigneur de La Ville-Corhen en Andel

* Cabinet de d'Hozier, Guichard-Guillemot - BnF. Ms. Fr. 31060, vue 234.

* DOSSIERS BLEUS ; mémoires, notes et documents généalogiques, classés par ordre alphabétique de noms de personnes, au Cabinet des titres, dans le cours du XVIIIe siècle. Guillaumie (La)-Guimond. - BnF. Ms. Fr. 29885, vue 151.

* VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. « Procès-verbaux des preuves de la noblesse des élèves de l'École royale militaire, ... dressés par messire Antoine-Marie D'HOZIER DE SERIGNY, chevalier, juge d'armes de la noblesse... » (1753-1790). Collège royal de La Flèche. XXII Années 1772, 6 janv.-31 déc. - BnF. Ms. Fr. 32081, n°30, vue 154.

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7 juin 2017 3 07 /06 /juin /2017 09:05
7 juin 1654, sacre de Louis XIV à Reims
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6 janvier 2015 2 06 /01 /janvier /2015 06:42
L'histoire ne le dit pas, mais l'histoire ne peut pas tout dire. Le quatrième Roi venait d'encore plus loin que les trois autres Rois. Il arrivait de l'extrémité des Gaules, autrement dit du bout du monde, d'un pays nommé Pelloc'hoaz. Plus loin que son royaume, il n'y avait plus que la mer, et quelques îles, où criaient des nuées de goélands, des îles où l'on disait que s'arrêtaient les âmes des défunts avant que les anges de Dieu ne les appellent pour le ciel.

Or le Roi de Pelloc'hoaz ayant été averti en songe de la venue sur la terre du Roi des Rois, que le monde entier attendait, décida de se mettre aussitôt en route vers le lieu qu'une Etoile nouvelle, soudainement apparue, et d'une brillance sans pareille, lui montrerait. Le Roi choisit, pour l'offrir à l'Enfant-Dieu, trois perles rares, les plus précieuses de tous les trésors hérités de ses pères.

L'une était semblable à la nacre rose. Elle avait l'éclat et la délicatesse de tons que l'on voit à la mer au lever du jour, devant Carantec et Callot, dans cette partie de la baie de Morlaix qui se nomme le Paradis. La perle était en forme de coeur et en elle palpitait tout ce qui fait la joie et la douleur du monde. C'était une perle vive, et, en l'offrant, le Roi de Pelloc'hoaz voulait offrir ce qu'il avait le plus à coeur, ses affections et ses soucis, ses bonheurs les plus intenses et ses souffrances les plus secrètes.

La deuxième perle était de couleur verte. Comme les prairies de Trogriffon dans un matin de givre, ou le val de Bigodou, sous le soleil d'octobre. En elle se miraient la campagne et les fleurs, la vie animale et la douceur des choses. En l'apportant au Fils de dieu, le Roi voulait lui faire remise de toutes ses possessions terrestres, non seulement ses propres richesses, mais encore la création tout entière, ce que de son donjon surplombant les flots, ils pouvait admirer à loisir. Le Roi se disait que si les remous de la mer sont si puissants, et si grandioses les couchers de soleil entre Kerrec-Hir et l'Ile de la Vierge, combien plus somptueux encore étaient les hauts-fonds où des poissons zébrés d'or et d'argent frétillaient entre les algues de soie vivante, battant comme bannières au vent parmi d'étincelants trésors oubliés. La perle aux irisations vertes chantait les splendeurs du monde visible et celles de l'invisible, et le Roi voulait la donner parce qu'en elle il restituait au Créateur amour pour amour.

La troisième perle était blanche. Ou plutôt elle était transparence. Elle n'était pas la lumière, mais elle diffusait la lumière. En la regardant, on était éclairé. On voyait le chemin qu'il convenait de prendre, le conseil que l'on pouvait proposer, la solution que depuis longtemps l'on cherchait. Au moyen de cette perle, la vie devenait simple, les choses trouvaient leur place et les rapports entre les êtres, leur limpidité originelle. En la présentant au Nouveau-Né, le Roi désirait lui remettre toute sa sagesse, son intelligence et son esprit.

Donc, serrant dans sa cassette ces trois perles uniques, le Roi de Pelloc'hoaz se mit en marche. Le voyage, vous le pensez bien, fut très très long et, plus d'une fois, le cortège dût s'arrêter en chemin, à cause d'événements imprévisibles. Lorsqu'enfin il arriva dans le pays où l'étoile s'arrêta, le Roi perçut une étrange clameur qui s'élevait des villes et des villages. C'était comme un immense pleur que rien ne pouvait consoler. Le Roi en eut le cœur déchiré et il se demandait ce que cela pouvait être, lorsque l'un de ses hérauts vint lui dire qu'un ordre barbare, émanant d'Hérode, avait répandu la mort dans les maisons des Israëlites, en massacrant tous les petits garçons de moins de deux ans. A peine le héraut avait-il achevé son effrayant récit, qu'une femme au visage décomposé par l'horreur, fit irruption dans la salle de l'auberge où le Roi s'était arrêté. Elle serrait sur son cœur un enfant aux yeux affolés et elle se disait poursuivie par les tueurs d'Hérode.

En effet, à la porte , arrivèrent les mercenaires d'Hérode, des hommes à la face de bêtes, tenant des épées rougies par le sang. Ils poursuivaient la jeune mère et avaient ordre de mettre à mort le petit juif. Le Roi de Pelloc'hoaz leur fit face. Les brutes ne voulaient pas démordre: il leur fallait l'enfant. Alors le Roi se fit apporter sa cassette et il en sortit la perle rose. Si rare était sa beauté que les mercenaires aussitôt jugèrent qu'ils ne trouveraient pas au monde une occasion de ce prix et qu'ils pouvaient subir jusqu'à la fin les ordres d'Hérode sans recevoir jamais pareille récompense. Ils se saisirent de la perle et laissèrent leurs épées sur le seuil de l'auberge.

Le Roi de Pellôc'hoaz poursuivit son chemin, espérant découvrir l'Enfant-Dieu. Comment s'y prit-il et pourquoi l'étoile cessa-t-elle de briller au-dessus de sa tête? Il ne comprit pas. Toujours est-il qu'une fois, entrant dans un village, il croisa un cortège insolite : une escouade de soldats emmenait un jeune homme, qui se débattait et criait. Derrière eux venait un groupe de personnes entourant une femme d'âge, sans doute la mère du prisonnier. L'homme qu'on emmenait, en effet, était son seul fils, et elle était veuve. Il avait commis un vol, en effet, car ils étaient pauvres, et n'avaient plus rien pour vivre. En com prenant cela, le Roi de Pelloc'hoaz fut ému, et, bien qu'il ne pût approuver le vol, il n'approuvait pas plus la brutalité des gardes qui emmenaient l'homme, et il leur demanda de laisser libre le voleur. Comme les soldats refusaient, le Roi leur proposa un grand prix pour rançon du prisonnier. Les soldats refusaient toujours. Alors le Roi ouvrit sa cassette et en sortit la perle aux tons verts. Les gardes, subjugués, évaluèrent sur-le-champ la fortune que représentait le joyau et acceptèrent de rendre le jeune homme à sa mère.

Le Roi n'avait plus désormais à offrir au Fils de Dieu, que la seule perle blanche. Il chercha et chercha longtemps l'enfant pour lequel il avait quitté son château près de la mer, son pays fleuri de bruyère, posé au bout du monde, il chercha bien pendant trente ans, dans la région où l'étoile l'avait conduit.

Un jour qu'il approchait de la Cité de Paix, il vit accourir à lui une toute jeune fille qui se jeta dans ses bras. Elle fuyait devant des hommes qui l'assaillaient de coups de pierre, car ils l'accusaient d'avoir trahi son père alors que ses parents, des gens très pieux, l'avaient promise en mariage à un riche vieillard de leur parenté. La jeune fille ne voulait pas mourir et elle suppliait le Roi de Pelloc'hoaz de lui sauver la vie. Le Roi eut beau présenter aux poursuivants toutes les raisons de ne pas frapper la jeune fille avant de s'être assuré que leurs dires étaient justes et non des accusations fausses portées par des jaloux, rien n'y fit. Les accusateurs étaient d'autant plus féroces qu'ils avaient la loi pour eux et que certains faisaient profession de justice. Alors le Roi de Pelloc'hoaz résolut de se défaire de la dernière perle ...

Lorsqu'il la montra aux furieux, ceux-ci reculèrent, stupéfaits. Leurs yeux flambaient de convoitise devant la perle lumineuse que le Roi tenait entre ses doigts. "Allez!" leur dit-il, en leur remettant le trésor, tandis que la jeune fille, haletante, s'évanouissait entre ses bras.

C'est à ce moment-là que le Roi entendit une rumeur qui provenait d'une ruelle au bas de la cité. C'était des cris, des vociférations, des sifflets, accompagnant la montée d'un condamné à mort que l'on traînait hors les murs de la ville pour le supplice de la croix. Le répugnant cortège approchait. Le Roi de Pelloc'hoaz vit l'homme que l'on menait à la mort. Et l'Homme tourna vers lui son visage, Il posa sur lui son regard. Et le Roi sut que c'était lui. C'était l'Enfant qu'il avait si longtemps cherché!... Voilà ce que les hommes en avaient fait!...

Le Roi de Pelloc'hoaz ouvrit les mains: il n'avait plus rien, plus rien à offrir en échange de la vie du Fils de l'Homme. Il avait tout donné en route. Alors sur le visage indescriptible de Jésus, le Roi vit ses trois perles. Elles brillaient, intactes, plus riches et lumineuses que dans l'écrin de la cassette, et comme vibrantes, toutes les trois, de ce qu'il avait voulu apporter à l'Enfant. Il entendit une voix qui lui disait : "Va en paix, ton offrande, je l'ai bien reçue! "
 
Le Roi de Pelloc'hoaz comprit que tout ce qu'il avait fait pour les hommes au long du chemin, c'était à Dieu qu'il l'avait fait.
 
 

L'adoration des Mages

Horae ad usum Romanum, dites Grandes Heures d'Anne de Bretagne

BnF. Ms. Lat. 9474, fol. 64v
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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 15:27
Sceau aux armes des Ploeuc
Sceau aux armes des Ploeuc
Sceau aux armes des Ploeuc
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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 13:18

1 - Sébastien, sire de Plœuc (1585-1644), épouse Marie de Rieux (-1628), dont :

 

2 - Marie-Anne de Plœuc (-1709), épouse Guillaume de Penancoët, chevalier, baron de Kerouazle en Guiller (-1690), dont :

 

3 - Louise-Renée de Penancoët (1649-1734), eut de Charles II, Roy d’Angleterre, un fils illégitime :

 

4 - Charles Lennox, duc de Lennox, de Richemond et d’Aubigny (1672-1723), épouse Anne Brudenell (-1722), dont :

 

5 - Charles Lennox, duc de Lennox et de Richemond (1701-1750), lieutenant-général de l’Armée Anglaise, épouse Sarah Cadogan(1706-1751), dont :

 

6 - Emilia Lennox (1731-1814), épouse en 1747 James Fitzgerald, duc de Leinster (1722-1773), dont :

 

7 - William-Robert Fitzgerald, duc de Leinster (1749-1804) épouse Emilia-Olivia Ussher Saint-George (1755-1798), dont :

 

8 - Emily Fitzgerald (1778-1856) épouse John-Joseph Henry (-1848), dont :

 

9 - Barbara Yelverton, baronne Grey de Ruthyn, marquise d’Hastings (1810-1858), épouse en 1831 Hastings-Reginald Henry Yelverton (-1878), amiral dans la Royal Navy, dont :

 

10 - Barbara Yelverton (1949-1924), épouse en 1872 John Yarde-Buller, baron Churston (1846-1911), dont :

 

11 – John-Reginald-Lope Yarde-Buller, baron puis lord Churston (1873-1930), épouse en 1907 Jessie-Denise-Orme Smither (1885-1960), artise chanteuse de music hall, dont :

 

12 – Joan-Barbara Yarde-Buller (1908-1997), épouse en 1936 le prince Ali Al Husanyi, prince Ali Khan, (1911-1960), dont :

 

13 – Prince Sayyid Karim Al Husanyi (1936-), Aga Khan IV, 49ème Iman (chef spirituel des ismaéliens nizârites), dont postérité.

Le prince Karim Aga Khan IV, descendant des sires de Ploeuc
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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 07:54

feu : ménage, foyer, famille. Ensemble des personnes vivant autrefois autour du même feu.

FFG : Fédération Française de Généalogie

filiation : lien de parenté unissant deux personnes dont l'une a été procréée par l'autre

filleul(e) : baptisé(e), par rapport à son parrain ou à sa marraine

fratrie : ensemble des frères et soeurs

GEDCOM : acronyme de Genealogical Data Communication. Format normalisé de fichier de données facilitant le passage d'un logiciel de généalogie à l'autre.

gendre : époux de la fille

généalogie : discipline qui a pour objet la connaissance de la parenté existant entre les individus ou dénombrement des ancêtres de quelqu'un ou science qui recherche l'origine et la filiation des familles ( de génos - race - ou généa - origine - et logos - science -)

généalogie ascendante : recherche des ancêtres d'une personne.

généalogie descendante : recensement des descendants d'un individu précis (généralement un ancêtre). (dans ce cas et contrairement à la généalogie ascendante : il est impossible de prévoir le nombre de descendants)

généalogiste : celui qui établit des généalogies. On parle de généalogistes professionnels et de généalogistes amateurs.

génération : désigne les personnes qui ont un même degré de filiation par rapport à un ancêtre commun. Désigne également l'intervalle (le nombre de rang) qui sépare deux individus (environ 25/30 ans en moyenne entre deux générations).

génétique : science des caractères héréditaires d'un individu liés aux gènes

germain, germaine : à l'origine, désigne les enfants nés des mêmes père et mère (frères germains, opposés à utérins et à consanguin). Puis, qualifie couramment les cousins qui ont au moins un aïeul en commun (cousins germains).

héraldique : science des blasons et armoiries.

hérédité : transmission des caractères d'un être à sa descendance

héritier : celui qui reçoit un bien ou un titre par succession

historiographe : celui qui écrit l'histoire de son temps ou de sa région, ou de ses contemporains

homonymie : identité de la désignation de personnes différentes

immigration : migration d'une personne depuis l'extérieur vers une circonscription administrative donnée

implexe : rapport entre le nombre réel et le nombre théorique d'ancêtres, généralement inférieur à 1 à cause des mariages entre branches d'un même arbre ascendant. Ex : dans une situation courante un individu a 8 arrière-grand-parents distincts. dans un cas d'implexe il va n'en avoir que 6 parceque cet individu a des parents qui sont cousins germains et donc des grand-parents [par des braches différentes] qui sont frères et soeurs.

inceste : union de personnes apparentées à un degré entraînant la prohibition juridique du mariage et conclue sans dispense de parenté au mariage

information :information absente : absence de renseignement en rapport avec le fait à prouver information adéquate : information à la fois crédible et précise information explicite : énoncé du fait à prouver lui-même information implicite : énoncé d'un fait autre que le fait à prouver, mais où le fait énoncé permet de déduire sans ambiguïté le fait à prouver information imprécise : énoncé d'un fait autre que le fait à prouver et où le fait énoncé ne permet pas de déduire sans ambiguïté le fait à prouver information inadéquate : information qui présente un défaut de crédibilité ou de précision information précise : énoncé sans équivoque du fait à prouver

insinuation enregistrement des actes sous l'Ancien Régime.

intestat qui n'a pas fait de testament.

inventaire après décés : liste des biens d'un défunt en vue de sa succession.

légitime : voir enfant légitime

liasse : ensemble de document archivés ensemble.

lieu : portion déterminée d'un territoire, lieu approximatif : lieu d'événement vraisemblable et déterminé au moyen de l'information présente dans des documents autres qu'un document de preuve par le fait, lieu d'enregistrement : la plus petite subdivision territoriale pour laquelle l'autorité compétente a désigné un rédacteur d'acte, lieu d'événement : lieu où est survenu l'événement auquel la personne a été associée, lieu de résidence : lieu ordinaire d'habitation d'une personne, lieu de survenance : voir lieu d'événement, lieu-dit : lieu nommé par la coutume locale, mais non reconnu par l'autorité, compétente, lieu précis : lieu correspondant à la plus petite subdivision administrative, lieu présumé : lieu approximatif traité comme auxiliaire d'enquête

lignage : ensemble des personnes issues en ligne directe d'une même souche.

ligne directe : lignée verticale entre différentes générations, fils, père, grand-père, arrière grand-père...

ligne collatérale : frères et sœur et leurs ascendants ou descendants.

liste éclair : liste de patronymes étudiée par un généalogiste (généralement avec dates et lieux)

livret de famille : institué en 1877, c'est à partir de ce moment que les variations d'écritures des patronymes ont disparues, les déclarants produisant une pièce écrite.

maisons : il s'agit de la descendance, de la lignée d'une famille noble.

manuscrit : texte écrit à la main et dont il n'existe qu'un seul exemplaire

marraine : femme qui tient un enfant au baptême

marâtre : autre épouse du père

matronyme : nom de famille transmis par la filiation maternelle

mentions marginales : report du résumé d'un acte en marge d'un autre acte

métayer : locataire d'une exploitation dont le loyer consiste en une part de la récolte.

microfilms

minutes notariales originaux des actes rédigés par les notaires, conservés à l'étude ou transmis aux archives départementales, on peut y trouver : contrats de mariage, testaments, partages, donations entre vifs, reconnaissance d'enfants naturels, tutelles, actes de notoriété, actes de ventes, etc...Le dépôt des minutes de plus de 100 ans est obligatoire depuis 1979 (sérieE) mais n'est pas encore achevé, consulter le fichier des notaires aux archives départementales, pour déterminer l'étude ayant succédé à l'étude originale, et consulter les services des Archives pour savoir si les minutes ont fait l'objet d'un dépôt ou non.

minutier : ensemble des minutes des actes notariés rédigés par un même notaire

monographie : étude d'un sujet précis : personnage, régio, événement historique

mormons : appellation courante pour "Eglise de Jésus Christ des Saints des Derniers Jours". Propose à ses fidèles le baptême a posteriori de leurs ancêtres, d'où l'importance fondamentale de la généalogie pour les Mormons. Ils microfilment les archives dans le monde entier.

naturel : se dit d'un enfant né de parents non mariés ensemble.

neveu (nièce) à la mode de Bretagne : fils(fille) du cousin germain ou de la cousine germaine

NMD : Naissances, Mariages, Décés. Actes de l'Etat-Civil, depuis 1792. Ont remplacé les BMS *

nobiliaire : catalogue de familles nobles.

norme gedcom : voir GEDCOM

notaire : officier public établi pour recevoir des actes et contrats, personne chargée par l'état de la rédaction, de l'authentification et de la conservation des conventions conclues entre des particuliers

obiit : enfant mort-né. Parfois employé, en marge d'actes de baptême pour mentionner des décès intervenus quelques semaines plus tard et dépourvus d'acte de sépulture. Si la mort survenait peu de temps après la naissance, l'indication de ce terme en marge "dispensait" le pretre de dresser un acte de sépulture; il faut noter que ce terme latin était employé même lorsque les actes étaient rédigés en français. Existe sous forme abrégée soit "ob" soit tout simplement "o" (dans les nécrologes, livre tenu pour inscrire les défunts qui avaient donné des fonds pour dire une messe le jour de leur anniversaire de décès). Dans certains actes de sépulture : "obiit in sanctae ecclesiae communione" = il est mort dans la communion de la sainte église. Forme du verbe latin obeo qui sous sa forme intransitive signfie périr, mourir. "obiit" il est mort.

ondoiement : c'est un peu comme un baptême (mais en l'absence d'un prêtre). Il est autorisé quand un enfant est en danger de mort. Il a les mêmes effets que le baptême. Cette pratique fut introduite au XVIIe et XVIIIe siècle. L'ondoiement est ensuite complété, quelques semaines ou quelques mois plus tard, par les autres rite, avec parrain, marraine, cloches, repas de famille et dragées. Les nouveaux nés de la maison royale étaient ondoyés à la naissance, puis, parfois de longue années plus tard, baptisés. Cérémonie : l'eau doit être versée sur la tête de l'enfant accompagnée de la formule "je te baptise au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit".

L'enfant ondoyé, lavé du péché originel, peut aller au Ciel, tandis qu'un enfant mort avant d'avoir pu être ondoyé (ou baptisé) va dans les Limbes.

onomastique : Etude, science des noms propres (et spécialement des noms de personnes). Voir anthroponymie.

paléographie : Science consacrée à l'étude des écritures anciennes

parenté : relation entre des personnes déterminée, soit par des lois biologiques soit par des règles sociales ou juridiques ; relation existant entre le probant et la personne qui lui est apparentée ; ensemble des apparentés

parentèle : ensemble des personnes auxquels le probant reconnaît le statut d'apparenté

patronyme : nom de famille, commun aux descendants d'une famille. Son utilisation date du XIIIe et XIV siècle

petit cousin : cousin autre que cousin germain

pièce d'archives : plus petite unité archivistique indivisible ; elle peut être constituée d'une ou de plusieurs feuilles (un contrat de mariage, une lettre, etc.), d'un cahier, d'un registre.

prénom : partie du nom de personne servant à distinguer les personnes d'une même lignée agnatique

probant : celui qui fait sa généalogie ascendante. Autrefois, il s'agissait d'une personne devant donner des preuves de noblesse. Les généalogistes utilisent de préférence le terme "De cujus".

proverbe du généalogiste : "un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle"

puîné : tout enfant né après l'aîné, à l'exception du benjamin. Voir aîné, cadet et benjamin.

pupille de l'Etat : enfant abandonné, jadis devant le "tour" d'un hôpital.

pupille de la Nation : orphelin de guerre (loi du 27 juillet 1917 en application). Les enfants de pères tués à la guerre ou mutilés ou ayant des blessures avec séquelles importantes étaient adoptés par la Nation avec une prise en charge totale.

quartier : Ne s'emploie que pour la noblesse. Synonyme d'ancêtre. Ensemble des ancêtres composant une même génération avec une conotation de fierté sur l'origine noble de ces ancêtres.

recensement : dénombrement ordonné par l'État de la population résidant sur son territoire à une date précise. Le premier recensement date de 1774 (plus complets à partir de 1836). Depuis 1945 les communes n'ont plus l'obligation de verser aux Archives départementales un exemplaire des listes nominatives de recensements.

registres paroissiaux : ensemble des actes de baptême, mariage et sépulture (B.M.S.) jusqu'en 1792. Appelés aussi "registres de catholicité" car il ne concernent que les adeptes de la religion catholique. Il est rare d'en rencontrer datant d'avant 1600 car l'exemplaire unique des époques antérieures a dû traverser l'histoire en évitant les rongeurs, les insectes, les incendies, les pillages, l'humidité et surtout l'indifférence. Ils contiennent les actes de baptêmes, mariages et sépultures d'où l'abréviation de BMS. Ils étaient rédigés par les prêtres au niveau de chaque paroisse.

remué de germain : Cette expression signifie "cousin issu de germain"

régime matrimonial : ensemble des règles gouvernant les intérêts pécuniaires des époux

registre d'Etat Civil : registre tenu par un officier civil et servant à l'enregistrement de la naissance, du mariage et du décès des citoyens

représentation circulaire / horizontale/ verticale : arbre généalogique ayant des formes spécifiques

rôle : liste des contribuables.

série : subdivision de classement identifié par une lettre. Ensemble d'archives déterminé de manière conventionnelle soit d'après la matière (ex : série O consacrée à l'administration communale), soit d'après la période (ex: série L consacrée à l'ensemble des fonds administratifs et judiciaires du département pendant la période révolutionnaire), soit d'après la provenance.

sigillographie : science consacrée aux sceaux.

souche : personne qui a donné naissance à une lignée ou, parfois, lieu d'origine d'une lignée.

Sosa : terme simplifié et usuel pour Soza-Stradonitz

Soza - Stradonitz : système de numérotation utilisé pour une généalogie ascendante (la plus utilisée). Attribue à chaque ascendant un numéro : Vous portez le n°1, votre père porte le n°2, votre mère le n°3, votre grand-père paternel porte le n°4, votre grand-mère paternelle porte le n°5...

source : origine (d'une information). Nuance : Document, texte original.

Unité matérielle distincte (par la date, par le lieu, par l'auteur ...) renfermant un renseignement.

tables : terme courant pour Tables décennales

tables décennales : registres reprenant tous les actes d'état civil enregistrés dans une commune. Chacun des actes d'état civil y est inscrit. Dans les dépots d'archives nationales [Archives Départementales ou AD], la consultation des tables décennales permet d'accéder directement aux actes. Chacune de ces tables contient les données NMD pour une période de 10 ans d'où leur appelation.

témoignages : témoignages, souvenirs, entretiens. On ne prendra jamais assez de notes, elles ne seront jamais trop précises. Une photo avec un personnage non identifiable n'a plus de valeur. N'attendez pas que la grand-mère soit malvoyante pour lui demander de nommer les individus d'une photo.

proverbe généalogique : "un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle". Exprime le fait que la première règle du généalogiste est d'interroger les personnes agées.

toponymie : Science recherchant l'origine des noms de lieux (ou toponyme)

transcription :

trisaïeux arrière-grands-parents

utérin se dit d'enfants nés de la même mère et de pères différents. Ex: frère utérin. Voir germain et consanguin

Villers-Cotterêts : voir 1539

 

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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 07:53

1539 : année de l'ordonnance de Villers-Cotterêts. Obligation est faite aux curés du Royaume de tenir un registre des baptêmes, mariages et sépultures.

ab intestat : voir intestat

Abboville (numérotation d'Abboville) : système de numérotation utilisé pour une généalogie descendante. (autres méthodes Pélissier, Dujardin, Tabuteau, Ponroy, Demonferrand, Dupaquier...). Principe : l'ancêtre de départ porte le numéro 1, son aîné le N° 1.1, son cadet 1.2 etc. Le premier enfant de l'ainée est le 1.1.1 et le premier du cadet le 1.2.1 etc.

acte : écrit rédigé par un officier commis à cet effet par l'autorité juridique compétente pour constater un fait (événement, convention)

acte notarié : acte rédigé par un notaire pour constater officiellement une convention intervenue entre des particuliers

acte sous seing privé : acte rédigé pour constater une convention intervenue entre des particuliers et signé par les parties et leurs témoins sans l'intervention d'un notaire

adoption : acte juridique établissant entre deux personnes (l'adoptant et l'adopté) des relations de droit analogues à celles qui résultent de la filiation biologique

adultérin (enfant): né d'un rapport extra-conjugal, d'un adultère. L'expression a disparu du Code Civil et est remplacée par "enfant naturel".

affin : apparenté par alliance

âge : temps écoulé entre la naissance d'une personne et un moment quelconque de sa vie. L'âge calculé est déterminé par la différence entre la date de la mention et la date de naissance. L'âge déclaré est l'âge affirmé par le probant ou par un témoin et formulé au moins en années, sinon en mois et en jours. L'âge présumé est l'intervalle de naissance déduit d'une déclaration de majorité ou de minorité ou de la nature de l'événement rapporté par le document

agnat : descendant(e) par ligne masculine, en pratique, les agnats portent tous le patronyme de l'ancêtre commun

agnatique : synonyme de patronymique. La ligne agnatique regroupe tous les pères et fils porteurs du même nom, le nom patronymique. Voir aussi cognatique.

aïeul/Aïeule : grand-père/grand-mère (pl : aïeuls/aïeules). Bisaïeul, trisaïeul. Et encore moins utilisé : quadriaïeul  (On dit plus communément quatrième aïeul ou quartaïeul (Littré)), quintaïeul sextaïeul septaïeul octaïeul

aïeux : ensemble des ancêtres (ne s'emploie qu'au pluriel)

aîné : le premier enfant né d'un couple. Dans le cas de jumeaux, la coutume reconnaît pour ainé l'enfant né en second.

alliance : lien de parenté existant entre l'époux ou l'épouse et les apparentés consanguins de son conjoint

ancêtre : personne dont est issu quelqu'un

annotation marginale : inscription, en marge de l'acte de baptême, de la date et de l'endroit de la au baptême confirmation, du mariage, du sous-diaconat ou de la profession religieuse du baptisé

anthroponymie : Partie de l'onomastique qui étudie les noms de personnes

apparenté : qui est parent par alliance, par mariage.

arbre généalogique : représentation graphique d'une généalogie.

archives : nom féminin pluriel, ensemble des documents, quels que soient leur date, leur forme et leur support matériel, produits ou reçus par toute personne physique ou morale, et par tout service ou organisme public ou privé, dans l'exercice de leur activité. Il existe des Archives communales (AC), Archives Départementales (AD), Archives diocésaines, Archives hospitalières, Archives nationales (AN), Archives notariales, Service Historique de l'Armée de Terre (SHAT), etc ...

armoiries : ensembles symboliques autrefois figures sur les boucliers ou écus pour distinguer les personnes, les familles, les communautés, etc.

ascendance : ensemble des personnes dont est issu quelqu'un

auteur : en généalogie ce terme désigne l'ancêtre commun à plusieurs branches.

bailliage : juridiction d'un bailly, fonctionnaire royal sous l'ancien régime.

ban : proclamation. Annonces pendant trois dimanches successifs (et affichage) de la célébration d'un mariage (histoire : droit royal de commander, de contraindre ou de punir).

bâtard : enfant né hors du mariage. Jadis dans les familles nobles c'était courant et généralement accepté.

beau-fils : époux de la fille ; fils issu d'un autre mariage de l'époux ou de l'épouse

beau-frère : époux de la sœur, ou frère du conjoint, ou époux de la sœur du conjoint

beau-père : autre époux de la mère; père de l'époux ou de l'épouse

belle-fille : épouse du fils; fille issue d'un autre mariage de l'époux ou de l'épouse

belle-mère : autre épouse du père ; mère de l'époux ou de l'épouse

belle-sœur : épouse du frère, ou sœur du conjoint, ou épouse du frère du conjoint

benjamin : dernier né des enfants. 

bigamie : état d'un homme uni à deux femmes en même temps ou d'une femme unie à deux hommes en même temps

bisaïeul/bisaïeule : Père, mère des aïeuls c'est-à-dire arrière-grand-père et arrière-grand-mère. Bisaïeux : arrière-grands-parents.

blason : ensemble des signes et emblèmes qui composent l'écu d'une famille

BMS : acronyme de [actes] de Baptême, Mariage religieux et Sépulture. Concerne les registres paroissiaux tenus par les curés sous l'Ancien régime. A la révolution les BMS furent remplacés les NMD *

branche Fragment d'une filiation générale issue d'une même souche. Il y a autant de branches dans une famille qu'il y a de personnes ayant une postérité mâle.

bru : épouse du fils

brassier : paysan qui n'avait, pour travailler ses terres, que la force de ses bras. (le laboureur disposait d'un attelage). Il ne possède pratiquement pas de terre et loue ses services auprès de plus riches que lui.

ca : voir circa

cadastre : registre public contenant la liste détaillée des propriétés et de leurs propriétaires en vue de leur imposition. Date de Napoléon 1er dans sa conception moderne. Archives départementales série P.

cadet : Le deuxième enfant d'un couple. Se dit aussi de chacun des enfants nés après l'aîné.

cadette (branche) : quand le cadet meurt sans postérité, même à un age avancé, on appelle cadette, la branche issue de son frère puiné * le plus proche.

calculs de degré de parenté : voir degré.

calendrier : système de division du temps

cartulaire : recueil de chartes, contient la transcription des archives d'un établissement religieux, voir d'une ville ou d'une famille, confectionné afin d'éviter de manipuler les originaux.

célibataire : état matrimonial d'une personne qui n'a jamais été mariée

charte : Il s'agit d'un acte concédant des franchises, des privilèges, des titres de propriété ou de vente. Pour les familles, les chartes permettent d'apporter la preuve de leurs privilèges et droits sur un bien ou un titre. Archives départementales, séries E, F et J.

chartrier : recueil de chartres et aussi désigne le lieu où l'on conservait les chartes du royaume ou d'une abbaye.

circa : mot latin signifiant 'aux environs de'. Utilisé couramment en anglais. [abréviation courante "ca"]

cognat : descendant par ligne féminine.

D'après le Traité de Généalogie de René JETTE : "Cognat : Descendant d'une même souche en ligne autre que masculine" "Cognation : Parenté par les femmes ; parenté par consanguinité, par les hommes ou par les femmes ""Ascendance cognatique : Ascendance unilinéaire où alternent les ascendants masculins et féminins. Elle relie un "probant" à un ascendant choisi à l'avance."
D'après le GDEL : "Cognat : Lien par les femmes""Cognatique : Mode de filiation non unilinéaire par les hommes ou par les femmes"
D'après le Robert : "Cognat : Parent par les femmes" "Cognation : Parenté naturelle sans distinction de ligne paternelle ou maternelle."
cognatique : se dit d'une généalogie descendante ne comportant pas les individus appartenant à la descendance agnatique.

collatéral / collatéraux : descendant d'un ancêtre commun , mais par une autre branche (ex : frère, oncle, nièce, cousin...).

commère : marraine.

compère : parrain.

compoix : ancêtre du cadastre.

comté : ancien découpage du territoire du Québec à des fins électorales et censitaires

consanguin Qui est parent par le père et par extension les personnes ayant un ascendant commun. Voir utérin

contrat de mariage : convention par laquelle les futurs époux déterminent leur régime matrimonial

copie intégrale d'un acte : doit indiquer toutes les mentions figurant dans l'acte original, y compris nom et adresse du notaire en cas de contrat (sur un acte de mariage), et mentions marginales.

cote : code alphanumérique d'identification d'un document archivé

cousins germains : enfants de deux frères ou sœurs.

cousin issu de germains : Personne ayant un arrière-grand-père commun ou une arrière-grand-mère. Appelés aussi "petits cousins" ou "sous-germains".

critique des sources : ensemble des règles de procédure permettant de déterminer l'admissibilité d'une source au statut de document

cujus : voir de cujus

curateur : personne, en principe de la famille, chargée de la protection des intérêts matériels d'un mineur orphelin, ou nommé en cas d'absence du père ou de succession vacante.

date Ca. : aux environs de ... . Indique une date approximative. "Ca" abréviation de circa

de cujus : désigne l'individu dont on recherche les ancêtres. Synonyme de "probant". Premiers mots de la locution juridique latine " de cujus successione agitur ", celui ou celle dont la succession est en cause, en généalogie, celui ou celle à partir du ou de laquelle on commence la recherche

degré : synonyme de génération en droit civil. Différence de génération qui sépare des parents consanguins ou par alliance. On dit cousin au 2ème et 3ème degré par exemple. il y a deux sortes  de degrés civils et canoniques.

délais de communication : voir Loi des 100 ans

dénombrement : recensement

dépôt : lieu d'archivage. Archives déposées.

dépouillement : analyse de tous les registres paroissiaux et les actes d'état civil afin de les transcrire pour facilité les recherches à d'autres généalogistes.

descendance agnatique : descendance rassemblant tous les descendants issus du probant par les mâles. Descendance utérine : descendance rassemblant tous les descendants issus du probant par les femmes. Descendance utile : descendance n'énumérant que les descendants ayant laissé une postérité

devise : phrase inscrite dans les armoiries. Exprime un idéal, un but, une règle de conduite

dispense de bans: voir ban

dispense de consanguinité : accord donné par un évêque pour un mariage entre cousins. En droit canon, on compte le nombre de degrés qui séparent de l'ancêtre commun. Une dispense du 4e degré veut dire que les époux avaient des arrières-arrières grands-parents communs. On trouve également des dispenses du 3e au 2e degré ou du 4e au 3e degré. Les dispenses du deuxième degré étaient accordées par le Pape, les autres par les évêques.

dispense de parenté au mariage : levée de l'empêchement de parenté par autorisation spéciale de l'autorité compétente

dixièmes :impôt royal crééen 1710

domicile : lieu ordinaire d'habitation d'une personne

donation entre vifs : contrat par lequel une personne se dépouille irrévocablement d'une chose (le donateur) en faveur d'une autre qui l'accepte (le donataire)

Edit d'Henri Deux édit datant de 1556 obligeant les mères célibataires et les veuves à déclarer leur grossesse, ces déclarations forment les cahiers de grossesse, conservés aux Archives départementales en série B

empêchement de parenté au mariage : interdiction du mariage en raison d'une parenté entre les conjoints éventuels jugée trop proche pu la loi

enfant naturel : né de personnes non mariées (et dont souvent la mère seule est connue)

enfant légitime : se dit d'un enfant né de parents unis par les liens du mariage (on dit aussi légitime et naturel).

enfant reconnu : un des parents reconnaît être l'auteur (ou enfant reconnu par le père et parfois par la mère, quand il est naturel ou adultérin)

enfant légitimé : le mariage valide la paternité voire la maternité. C'est un enfant illégitime (en général né de père "non dénommé", c'est le nom officiel pour père inconnu) qui, lors du mariage de l'un de ses deux parents (en général sa mère), est reconnu comme légitime par l'autre (en général le mari).

Si la mention marginale indique simplement : "légitimé par le mariage de ses parents..." cela prouve qu'il a été reconnu par ses deux parents avant ou au moment de la célébration du mariage. (Dans ce cas la légitimation est automatique; l'officier d'état civil qui célèbre le mariage constate la ou les reconnaissance (si elles n'avaient pas été déja faites) et la filiation. Si l'enfant légitimé n'est pas né dans la commune du mariage, des documents sont transmis à la commune de naissance pour inscription de la mention marginale. Le livret de famille n'est pas remis immédiatement aux époux mais transmis lui aussi à la mairie de naissance seule habilité à y faire figurer l'enfant. S'il n'a été reconnu qu'après le mariage, il ne peut être légitimé que par jugement et les références du jugement seront portées en mention marginales sur l'acte de naissance. Il faut s'adresser au procureur de la République, pour introduire une procédure auprès du tribunal de grande instance.Contrairement aux idées reçues, un enfant peut être légitimé sans qu'il y ait mariage (du moins à notre époque). Si le mariage des parents est impossible (père inconnu, parent décédé ou déjà marié), la légitimation peut avoir lieu par jugement du tribunal de grande instance du domicile du parent qui a élevé l'enfant. L'enfant majeur légitimé ne prend le nom du père que s'il y consent.Code civil : Art. 311-16 , Art. 329 s et 333 s

Cela peut être une reconnaissance convenue, de complaisance en accord avec la mère pour offrir un état civil complet à cet enfant naturel sans père dénommé. Mais il peut aussi s'agir du père biologique son enfant étant né avant mariage. Les deux cas se rencontrent. Parfois on peut affiner les présomptions légitimes avec quelques indices par exemple cohabitation des parents naturels avant ou à partir de la conception de l'enfant. Autre cas particulier : un enfant légitimé par mariage à l'âge de dix ans. En principe on pense tout de suite, reconnaissance de "complaisance". Il s'agit d'un couple de petits voisins d'enfance qui à l'âge de Roméo et Juliette ont "fauté". La petite fille est confiée à une institution religieuse, mais pas abandonnée, la jeune mère doit travailler. Le jeune lui apprend un métier et il est dans la période où le service militaire s'étale pendant des périodes sur 7 ans. Ils finiront par se marier trois mois après son congé de libération de l'armée.

En conclusion, en ce qui concerne ces enfants, si on veut en savoir plus et si c'est possible, il faudrait rechercher des indices et faire des recoupements.

enfant trouvé : sans filiation connue et trouvé. Enfant dont on ne sait rien qui a été trouvé, soit dans une église ou un "tour" de couvent ou n'importe où (généralement enfant abandonné)

enfant adultérin : voir aldutérin

enfant mort-né : mort à la naissance ou avant la naissance, pas toujours déclaré (sous l'ancien régime), on déclare rarement si c'est un garçon ou une fille et bien entendu n'a pas de prénom.

endogamie : situation où les mariages se font exclusivement ou surtout entre les membres d'un même groupe (familial, social, ethnique, ...)

épitaphier : recueil des épitaphes ou des relevés funéraires.

état civil : ensemble des actes de naissance, mariage et décès (N.M.D.) depuis 1792, date à laquelle cette tâche fut laïcisée (mais aussi : condition d'une personne dans la société civile).

étymologie : étude de l'origine et de la filiation des mots, fondée sur des lois phonétiques et sémantiques, et tenant compte de l'environnement historique, géographique et social.

événement d'état civil : événement qui est à l'origine de l'état civil d'une personne: la naissance, le mariage, le décès, l'adoption, le divorce, ...

exogamie : situation où les mariages se font exclusivement ou surtout avec des personnes extérieures au groupe d'appartenance

extrait d'acte : reproduction textuelle et partielle d'une source

 

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12 février 2014 3 12 /02 /février /2014 18:28
Penguily StGlen

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Les grottes de Saint-GlenLes grottes de Saint-Glen

Les grottes de Saint-Glen

Plan et coupes des grottes de Saint-Glen
Plan et coupes des grottes de Saint-Glen

Plan et coupes des grottes de Saint-Glen

Charles Berthelot du Chesnay
Bulletins et mémoires - Société d'Emulation des Côtes-du-Nord
1896 - T34, p. 121 et suivantes
http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207835q/f141

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8 janvier 2014 3 08 /01 /janvier /2014 08:42

Nicolas Ferry, né à Plaine dans la principauté de Salm-en-Vosges le 11 ou 13 novembre 1741 et décédé le 8 ou 9 juin 1764.

A sa naissance, il mesurait de 8 à 9 pouces (21/23 cm) et pesait 12 onces et 3 quarterons. A sa mort, il avait atteint la taille de 89 cm ; son squellette est exposé au Museum d'Histoires Naturelles de Paris.

Vers l'âge de 6 ans, il fut adopté par le duc de Lorraine Stanislas Leszczyński (Roi de Pologne sous le nom de Stanislas Ier et beau-père de Louis XV), qui par affection le surnomma "bébé".


C'est donc à partir de cette époque que les nourissons furent couramment désignés par le terme "bébé".

 

 

Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie, 1773, page 111

Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie, 1764, page 64 

Les Nains et les géants , par Edouard Garnier, page 153 et suivantes

Bébé, le nain de la cour de Stanislas Leczinski à Lunéville (XVIIIe siècle) : Son histoire et celle de ses dents 

Nicolas FERRY dit« BÉBÉ », (1741-1764) nain à la cour du Roi Stanislas LESZCZYNSKl, Duc de Lorraine, Lunéville 

Première étude du squelette de Nicolas Ferry alias « Bébé », le nain de Stanislas Leszczyński, rôle de Buffon dans la conservation de ses ossements 

LE  NAIN NICOLAS  FERRY,  DIT  BÉBÉ,  (COUR  DE  STANISLAS  LESZCZYNSKI, LUNÉVILLE,  LORRAINE,  18E  SIÈCLE).  ÉTUDE  HISTORIQUE,  ANTHROPOLOGIQUE ET PALÉOPATHOLOGIQUE 

 

 

A. Bébé, peinture par Girardet  (Musée Lunéville)

A. Bébé, peinture par Girardet (Musée Lunéville)

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 06:37
5 décembre : hommage aux Morts pour la France
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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 12:36

Page 1

 

Itinéraire de Bretagne en 1636, d'après le manuscrit original / avec notes et éclarcissements par Léon Maître et Paul de Berthou

Tome 1 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k73687p

Tome 2 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k736881

 

Abrégé chronologique et historique de l'origine, du progrès et de l'état actuel de la maison du roi et de toutes les troupes de France, tant d'infanterie que de cavalerie et dragons... avec des instructions pour servir à leur histoire et un journal historique des siéges, batailles... où ces corps se sont trouvés....

Tome 1, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503910z

Tome 2, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503911b

Tome 3, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k503905h

 

VOLUMES RELIES du Cabinet des titres : recherches de noblesse, armoriaux, preuves, histoires généalogiques. Trésor généalogique de Dom Villevieille († 1820).

Ms Fr 31884, I

Ms Fr 31885, II

Ms Fr 31886, III

Ms Fr 31887, IV

Ms Fr 31888, V

Ms Fr 31889, VI

Ms Fr 31890, VII

Ms Fr 31891, VIII

Ms Fr 31892, IX

Ms Fr 31893, X

Ms Fr 31894, XI

Ms Fr 31895, XII

Ms Fr 31896, XIII

Ms Fr 31897, XIV

Ms Fr 31898, XV Bilq.-Blu, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9064317h

Ms Fr 31899, XVI

Ms Fr 31900, XVII

Ms Fr 31901, XVIII

Ms Fr 31902, XIX

Ms Fr 31903, XX Brig.-Buan, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90639193

Ms Fr 31904, XXI Buas.-Buz, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063918p

Ms Fr 31905, XXII Cab.-Capu, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9064306q

Ms Fr 31906, XXIII

Ms Fr 31907, XXIV

Ms Fr 31908, XXV

Ms Fr 31909, XXVI

Ms Fr 31910, XXVII

Ms Fr 31911, XXVIII

Ms Fr 31912, XXIX

Ms Fr 31913, XXX

Ms Fr 31914, XXXI

Ms Fr 31915, XXXII

Ms Fr 31916, XXXIII

Ms Fr 31917, XXXIV Daan.-Desn, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063820d

Ms Fr 31918, XXXV Desp.-Dyon, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90643200

Ms Fr 31919, XXXVI

Ms Fr 31920, XXXVII

Ms Fr 31921, XXXVIII Fab.-Fesch, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90638472

Ms Fr 31922, XXXIX Fesm.-Fontai, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063844t

Ms Fr 31923, XL Fontan.-Fourm, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063843d

Ms Fr 31924, XLI Formez.-Fuz, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063816h

Ms Fr 31925, XLII Gaa.-Gauc, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90638457

Ms Fr 31926, XLIII Gaud.-Got, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90638420

Ms Fr 31927, XLIV

Ms Fr 31928, XLV Gresi.-Gy, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9064608k

Ms Fr 31929, XLVI

Ms Fr 31930, XLVII

Ms Fr 31931, XLVIII

Ms Fr 31932, XLIX

Ms Fr 31933, L, Laa.-Lansa, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063841k

Ms Fr 31934, LI Lansp.-Lez, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90638405

Ms Fr 31935, LII

Ms Fr 31936, LIII

Ms Fr 31937, LIV Mab.-Maison, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90643074

Ms Fr 31938, LV Maison-Mareuil, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063846n

Ms Fr 31939, LVI

Ms Fr 31940, LVII

Ms Fr 31941, LVIII Melun-Mirau, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9064319b

Ms Fr 31942, LIX

Ms Fr 31943, LX

Ms Fr 31944, LXI

Ms Fr 31946, LXII 

Ms Fr 31946, LXIII Mouf.-Nercy, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9064318x

Ms Fr 31947, LXIV

Ms Fr 31948, LXV

Ms Fr 31949, LXVI

Ms Fr 31950, LXVII

Ms Fr 31951, LXVIII Pha.-Plati, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9063821t

Ms Fr 31952, LXIX

Ms Fr 31953, LXX

Ms Fr 31954, LXXI

Ms Fr 31955, LXXII

Ms Fr 31956, LXXIII

Ms Fr 31957, LXXIV Raa.-Recey, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90639141

Ms Fr 31958, LXXV

Ms Fr 31959, LXXVI Rieux-Rochechouart, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90638865

Ms Fr 31960, LXXVII

Ms Fr 31961, LXXVIII

Ms Fr 31962, LXXIX

Ms Fr 31963, LXXX Saa.-St-Genois, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90643148

Ms Fr 31964, LXXXI

Ms Fr 31965, LXXXII

Ms Fr 31966, LXXXIII

Ms Fr 31967, LXXXIV

Ms Fr 31968, LXXXV

Ms Fr 31969, LXXXVI Tab.-Thois, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b9064601p

Ms Fr 31970, LXXXVII Tholes.-Tousche, http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b90646008

 

 


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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 08:00

1 - Sébastien, sire de Plœuc (1585-1644), épouse Marie de Rieux (-1628), dont :

 gp1

2 - Marie-Anne de Plœuc (-1709), épouse Guillaume de Penancoët, chevalier, baron de Kerouazle en Guiller (-1690), dont :

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3 - Louise-Renée de Penancoët (1649-1734), eut de Charles II, Roi d’Angleterre, un fils illégitime :

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4 - Charles Lennox, duc de Lennox, de Richemond et d’Aubigny (1672-1723), épouse Anne Brudenell (-1722), dont :

 c2

5 - Charles Lennox, duc de Lennox et de Richemond (1701-1750), épouse Sarah Cadogan (1706-1751), dont :

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6 - George-Henry Lennox, (1737-1805), épouse Louisa Kerr, dont :

 c4

7 - Charles Lennox, duc de Lennox et de Richemond (1764-1819), épouse Charlotte Gordon, dont :

 c5

8 - Charles Gordon-Lennox, duc de Lennox et de Richemond (1791-1860), épouse Caroline Paget, dont :

 

9 - Cecilia-Catherine Gordon-Lennox (1838-1910), épouse George Bingham, comte de Lucan (1830-1914), dont :

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10 - Rosalin-Cecilia-Caroline Bingham (1869-1958), épouse James-Albert-Edward Hamilton, duc d’Abercom (1869-1953), dont :

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11 - Cynthia-Elinor-Beatrix Hamilton (1897-1972), épouse Albert-Edward-John, comte Spencer (1892-1975), dont :

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12 - Edward-John, comte Spencer, vicomte d'Althorp (1924-1992), épouse Frances Burke Roche (1936-2004), dont :

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13 - Diana-Frances Spencer, dite Lady Di, (1961-1997), épouse en la cathédrale Saint-Paul de Londres le 29 juillet 1981 Son Altesse Royale le Prince Charles-Philip Windsor, prince de Galles, duc de Cornouailles et comte de Chester, duc de Rothesay et comte de Carrick, baron de Renfrew et seigneur des Îles, prince et grand-sénéchal d'Écosse, chevalier de l'Ordre de la Jarretière, chevalier de l'Ordre du Chardon, chevalier grand-croix de l'Ordre du Bain, membre de l'Ordre du Mérite, chevalier de l'Ordre d'Australie, né le 14 novembre 1948, dont :

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14 - Son Altesse Royale le Prince William-Arthur-Philip-Louis Windsor, duc de Cambridge, comte de Strateharn et baron de Carrickfergus, né à Londres le 2 juin 1982, lieutenant dans la "Royal Navy" et dans la "Royal Air Force", capitaine dans "The Blues and Royals", colonel des "Irish guards", chevalier de l'Ordre de la Jarretière, chevalier de l'Ordre du Chardon, épouse à l'abbaye de Westminster le 29 avril 2011 Catherine-Elizabeth Middleton, née à Reading le 9 janvier 1982, dont :

 

15 - Son Altesse Royale le Prince George-Alexander-Louis Windsor, prince de Cambridge, né à Londres le 22 juillet 2013.

Armoiries du Prince William et de son épouse

Armoiries du Prince William et de son épouse

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 13:06

 

Jehan Rouxel, époux de Marguerite Sagorin, paroissien de Plaintel, dans l'évêché de Saint-Brieuc, est mort en 1534.

 

Maître François Le Febvre, greffier de Saint-Quihouaye [Saint-Quihouët], dresse la liste des biens le 6 mai 1534 :

 

Une coueste de pleumes, ung balin et deux linceuls tieulx queulx prisés 12 sous 6 deniers.[1]

Item. Une père de feres de cherue et une cerue prisés ensemble 6 sous.

Item. Une cougnée et une fausigle 3 sous 6 deniers.

Item. Un fueux de pipe effonsée d'un bout prisée 20 deniers. [2]

Item. Une huge garnie de cleff et de claveure 12 sous 6 deniers. [3]

Item. Ung petit baxcin d'arain plus que demi-usé prisé 5 sous. [4]

Item. Ung petit trépié de fer prisé 20 deniers.

Item. Une pioche, une pelle faillye, une houe, 6 sous 6 deniers.

Item. Une vache en poil noir à tache blanches et ung veau de laict prisés 45 sous.

Item. Ung pourceau 10 sous.

Item. Ung journal de seigle en terre estant en une pièce de terre nommée le Fresche. [5]

Item. Demy-journal depécé pour mestre de l'orge piquélé avec troys chartées de fiens en la mare, prisés ensemble 10 sous. [6] 

Item. Les deux parts d'un journal de guéret non piquelé, prisées 5 sous.

Item. Les deux parts d'un journal aveine grosse, prisées 15 sous.

Item. Seix seiglons de poys, ung boexeau de chanvis en terre, avec un boexeau de lin, prisé ensemble 20 sous. [7]

 

 

[1] tieulx queulx [tels quels] prisés [estimés] 

[2] fueux de pipe : une futaille ou tonneau d'une contenance (en Bretagne) de 40 boisseaux. Le boisseau à Saint-Brieuc = 33.86 litres. 

[3] huge : coffre 

[4] baxcin d'arain : l'airain est alliage de cuivre, mais sert à indiqué dans ce cas que le bassin est rigide.

[5] ici non prisé, un oubli ?

[6] fiens : fumier 

[7] En 1534, avait pour valeur à Quintin :

  • le boisseau de seigle, 3 sous 4 deniers ;
  • le boisseau d'avoine grosse, 2 sous 6 deniers ;
  • le boisseau d'avoine menue, 12 deniers.

 

 

 

Sources :

ROPARTZ, Sigismond, « Mobilier d’un gentilhomme et d’un journalier bretons au XVIe siècle », Revue de Bretagne et de Vendée, 1862, p. 37-55. ( en ligne sur site de la Bnf)

LEGUAY, Jean-Pierre & MARTIN, Hervé, « Fastes et malheures de la Bretagne ducale, 1213-1532 », Ouest-France, 1983. 

 

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 16:51

Nos chevaliers de Saint-Michel ou de l'Ordre du roi : notices et documents

Vte du Breil de Pontbriand

Paris, Honoré Champion éditeur, 1906.

 

Contrat de vente de la terre de la Marre-Jouan (paroisses de Hénon et de Moncontour), vendue par Julien du Breil, seigr du Pin, capitaine de Redon, à François du Breil, chevalier, capitaine d'Abbeville, seigr de Hédé t des Hommeaux, de l'an 1556 (24 septembre).

Des Alleux, arch. de Penthièvre. - Le capitaine Breil de Bretagne, p. 163.

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 16:48

 

Nos chevaliers de Saint-Michel ou de l'Ordre du Roi : notices et documents

Vte du Breil de Pontbriand

Paris, Honoré Champion éditeur, 1906.

 

Vente de la terre de la Marre-Jouan

Comme le 6e jour du mois de 8bre dernier 1559, contract auroit héritel esté faict et passé par devant devant Jacques du Bosc et Fçois Martin, notaires roiaulx de la court de Rennes establis au siège et baillage de Lamballe, entre très hault et puissant prince Jehan de Bretaigne, duc d'Estampes, comte de Penthièvre, chevr de l'Ordre, gouverneur et lieutenant génl pour le Roy au duché de Bretaigne, et nobles homs Noël de Tréal et Françoys du Breil, sieur de la Roche, capitaine de l'isle et Chosé, d'aultre part, par lequel lesd. de Tréal et du Breil, pour eux et leurs hoirs, auroient vendu et transporté audit sr duc sur l'hypothèque géne et spéciale de tous et chascuns de leurs biens héritels et mobiliers tant présens que advenir le nombre de 833 l. 6 s. 8 deniers tournois de rente... moyennant le prix et la somme de 10.000 l., laquelle somme de 10.000 l. ledit sr duc faisant led. contrat seroit obligé bailler et faire tenir à Mre Fçois du Breil, chevr, sr du Breil et de Hédé, lors prisonnier de guerre au pais de Flandre, pour luy subvenir et aider au paiement de sa ranczon, et ce dedans 3 mois lors proches et suyvans, pendant lequel temps les arréages ne doivent courir que lorsque ladite somme auroit esté, comme dict est, fournye et payée ; suivant lequel contract et icelluy enthérinant, ledit sieur duc, le 2e jour de janvier dudict an mil cinq cent cinquante neuf (1560), auroit payé et fourny audict Mesre Fçois du Breil, sr dudit lieu, la somme de 8000 l. t. et en déduction de lad. somme de 10.000 l., dont l'acte de quittance ce touschant est passé audict Bloys, devant Me Anth. Aubert et Loys Chicoinneau, notaires et tabellions dud. lieu, et signé dud. sr du Breil, et pour ceque ledit nombre de rente se pouvoit franchir, sont aujourd'hui 15e de juin 1560, par devant nous Yves Dumesnil et Sébastien Caradeu, notres royaulx jurés et receus en lad. court et sénechaussée de Rennes, comparus et leur personne led. Mesre Fçois du Breil, chevr, sr dudit lieu et de Hédé, tant en son nom que comme procr de dame Jeanne de Tréal, sa compagne espouse et à laquelle il s'est faict fort faire ratiffier et avoir agréable les préstes dedans la Magdelaine prochain venant, lesd. sr et dame du Breil nous a dict, au lieu des Hommeaux, parse de St Bourgladre, diocse de Dol, d'une part, et escuyer Gilles de Lescouët, sr de Soulleville, demt au lieu de la Moguelaye, par. de Maroué, d'aultre part, entre lesquels a esté faict le contrat héritel en la forme que ensuit : Par lequel led. sr du Breil, tant en son nom que pour lesd. srs de Beaubois et de la Roche, en solution et amortissement dud. nombre 833 l. 6 souls 8 den. de rente, a, du consentement et volonté dud. sieur duc, cédé aud. de Lescouët, la terre et seigrie de la Marre aud. sr du Breil, comme il a affirmé par le serment, appartenante.

Sçavoir : les maisons, fons, édifices et superfices dud. lieu de la Marre, courtz, jardins, vergers, coulombier et refuge à pigeons, bouais taillis et de haulte futaie ; la grande prée dud. lieu et maison de la Marre, contenant environ 60 journées d'hommes à faulcher ; les maisons, métairies, terres et appartenances des Jamyes, de la Villebourre ; la prée du Gage joignant à ladite grande prée ; ... le moulin à eau de lad. seigneurie, avec son distric, estangs, douves, viviers, pontz levis dudict lieu et maison de la Marre ; droit d'enfeu et de sépulture en l'église de Hénon près le grand autel et sacraire ; un bancq et accoudouer en la nef d'icelle église au costé du bancq de la Sale et une chapelle assise au bout des rabynes dud. lieu de la Marre, lesdites choses baillées par led. sr du Breil, tenues prochement, noblement, à foy, rachapt et chambelenage dud. sr duc, à cause de sa terre et seigneurie, court et juridiction de Moncontour.

Et en faveur dud. transport et par-dessusles 8000 l., led. sr de Lescouët a baillé et payé aud. du Breil le nombre de 2000 l. tournois.

Led. sr du Breil a baillé aud. de Lescouët acquéreur le contract d'acquêt qu'il avoit faict de la seigneurie de la Marre d'avesques Julien du Breil, escuier, sr du Pin, cappne de Redon, et dame Marie Ferron (Ferré), sa compagne, en date du 24e septembre 1556, rapporté par nostre dicte court et nous dicts notaires soussignés. Passé aud. Rennes en la salle des Cordeliers ledit 15e de juin 1560.

Le samedi 22e juin 1560, au lieu, maison et manoir des Hommeaulx, ratification de noble et puissante dame Jeanne de Tréal.

Archives de Saint-Brieuc. E, 660.

 

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